Des nanoparticules dans tous les gâteaux et bonbons pour enfant testés

A l’école publique de l’éducation nationale (déjà on « éduque » pas mais on élève…) où vont mes enfants, il est autorisé d’amener et de partager un gâteau ou des sucreries quand c’est son anniversaire.

Il est interdit d’amener un gâteau fait maison et obligatoire de l’acheter en grande surface pour des raisons de sécurité alimentaire !

Il est observable que la perversité au dernier degré du gouvernement et système maçonnique français fondé sur l’inversion des valeurs touche à son paroxysme et ne peut désormais aller plus loin dans le déni et la perversion manipulatoire des lois du vivant.

En l’occurrence cette obligation est comme toujours dictée par la peur: celle de voir les êtres humains élever leur taux vibratoire (ou niveau de fréquence), se rendre compte à quel point ce monde est insane et s’en débarrasser fissa ainsi que celles et ceux qui le « dirigent ».

En résumé la réalité 3D d’une immaturité abyssale refuse de céder son « rang » de seule réalité possible. L’évolution est pourtant inéluctable.

La voie de L’Amour et de la Conscience est un choix accessible à chaque Un puisqu’il « suffit » d’écouter son Coeur et d’aligner ses actes, écrits, paroles et pensées avec ce qu’il nous dit. L’ »opinion personnelle » est une illusion, il n’existe que ce qui est conforme avec le vivant et ce qui ne l’est pas. Bien sûr à chaque Un son style mais les règles du jeu sont identiques non seulement pour tous les humains, mais pour Tout ce qui est. Il en est ainsi et Tout est parfait.

Chaque Un est responsable à son niveau de se réaligner sur ce qui est conforme aux lois immuables et éternelles de la Nature. Choisir de croire au lieu de voir, de rester dans la zone de confort de ses croyances sans chercher à les remettre en question est bien entendu possible mais entraînera tout autant que le choix inverse des conséquences.

Bien entendu la « qualité » des expériences sera différente selon les choix effectué… Tout dépend si on souhaite être heureux ou vivre une vie de merde.

Ce schéma valable pour tout être vivant, donc pour le Tout, exhaustivement.

En ce qui concerne la directrice de l’école dans laquelle sont scolarisés mes enfants, elle peut soit par peur d’être licenciée ou mutée (ou je ne sais quoi d’autre encore…) perpétuer une obligation perverse et endosser la responsabilité d’implanter les enfants au dioxyde de titane (et contribuer à freiner l’évolution de l’humanité puisque les enfants d’aujourd’hui seront les adultes de demain), soit se poser les bonnes questions dont les réponses la conduiront immanquablement à agir en conscience et refuser légitimement preuves à l’appui une obligation scélérate et toxique.

La vie se chargera avec parfaite justesse de lui faire expérimenter les conséquences de ses choix.

Je n’ai rien contre cette belle personne qui fait de son mieux dans son paradigme vibrant la plupart du temps assez bas. Mais il s’agit de centaines d’enfants dont les miens !!!

Par conséquent je me permettrai simplement de l’informer dès la rentrée de manière à ce qu’elle ne puisse pas se cacher derrière la sempiternelle excuse de l’ignorance.

La rétro-causalité se chargera sans erreur possible de juger si ses actes sont conformes au niveau de responsabilité qu’il est légitime d’attendre d’une directrice d’école.

Fuir sa responsabilité est une pratique d’un temps désormais révolu.

Chaque Un le comprendra à son rythme, par la conscience ou par la souffrance.

Ûhxnûé


Les scandales alimentaires se succèdent et offrent comme un goûts de déjà vu. Après la crise au fipronil, loin d’être enterrée, le magazine 60 millions de consommateurs révèle, ce jeudi 24 août, avoir trouvé des traces d’oxyde de titane dans des gâteaux et des bonbons pour enfants. 100% des produits testés sont concernés.

« 100 % des bonbons et gâteaux que nous avons testés contiennent du dioxyde de titane sous forme nano. Contrairement aux dires des fabricants. » s’alarme le magazine 60 millions de consommateurs dans son communiqué. Les résultats d’une enquête de l’institut national de la consommation sont saisissants : dans l’ensemble des dix-huit variétés de gâteaux et de sucreries analysés, les chercheurs ont découvert des traces de cette nanoparticule dans l’additif E17. Selon les produits testés, le dioxyde de titane représente de 10% à 100% de l’additif présent.

Si la dangerosité de l’oxyde de titane questionne toujours, les industries agroalimentaires ont dans tous les cas l’obligation légale d’indiquer, au dos de leurs emballages, la présence de cette particule dans l’additif E17 s’il en est composé à plus de 10%. Selon 60 millions de consommateurs, aucune des denrées incriminées n’en mentionnait l’existence. Les marques industrielles, en détournant les règles, voudraient-elles éviter d’éveiller des craintes dans l’esprit des consommateurs ?

Que faut-il craindre ?

L’oxyde de titane est un élément présent dans de nombreux produits du quotidien, notamment pharmaceutique et cosmétique. Dans le secteur alimentaire, il sert avant tout à augmenter la blancheur, à fixer l’humidité ou à empêcher l’agglomération des poudres. Déjà classées, en 2006, dans le groupe des cancérigènes potentielspar le CIRC (Comité international de recherche contre le cancer), les nanoparticules d’oxyde de titane n’avaient pas été pour autant prohibées de l’industrie agroalimentaire. Le rapport du CIRC affirmait en effet que cette substance représentait seulement un risque sanitaire en cas d’inhalation comme c’est le cas, par exemple, pour la poudre de bois. De ce fait, la présence de cette nanoparticule dans la nourriture ne semblait pas inquiéter les différents experts.

Cependant, en 2017, une expérience a mis en branle cette évidence. Les chercheurs de l’INRA (Institut national de recherche agronomique) ont donné à des rats un additif E17, riche à 50 % en nanoparticules d’oxyde de titane, soit le taux moyen présent dans les aliments ingérés par l’homme. Au bout de 100 jours, les chercheurs ont observé une augmentation des lésions bénignes dans le côlon des rongeurs, entraînant des cas de polypes, phénomène encore jamais constaté jusque-là et remettant en cause les certitudes des chercheurs. Mais « d’autres études sont nécessaires pour confirmer ces premiers résultats. » estime l’association de consommateurs.

Suite à ces découvertes, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation avait vivement poussé le gouvernement, dans un rapport rendu le 4 avril 2017, à poursuivre les recherches sur les risques sanitaires liés à la présence de nanoparticules d’oxyde de titane dans différents produits alimentaires. Convoquant le principe de précaution, l’agence recommandait « de limiter l’exposition des consommateurs en favorisant des produits sûrs, dépourvus de nanoparticules ». Ces découvertes assez récentes démontrent un manque de recul vis à vis de la présence de cet élément dans notre alimentation et surtout celle des enfants.

Ce nouveau scandale alimentaire aura, on l’espère, le mérite de faire bouger les lignes en la matière, au moins, en matière d’affichage légal. Quand au sort qui attend les différents industriels mis en cause, le service de répression des fraudes a d’ores et déjà affirmé au journal l’Express qu’une enquête à grande échelle allait être menée… À suivre !

 

Auteur : Tristan Barra

Partagé par : mrmondialisation.org

Sources : L’Express / 60 Millions de consommateurs / Anses